Une belle journée d'hiver ... ou presque. Nous sommes le 18 décembre.
dimanche 18 décembre 2011
Promenades parisiennes
vendredi 24 juin 2011
Le jardin de Monet à Giverny
Nous avons pris le train rejoindre Vernon, un jeudi de la fin du mois de mai, jour de rando des retraités, sans doute pour s'y croire un peu.
Nous étions assez nombreux pour remplir deux cars à la sortie de la gare de Vernon mais sans doute moins qu'un week end, heureusement.
Les photos sont interdites dans la maison, c'est dommage, une orchidée bleue dans la cuisine valait à elle seule le détour! Mais les surveillants me suivaient pas à pas, ou plutôt traquaient mon reflex. Les petits appareils eux, s'en donnaient à cœur joie pendant ce temps là!
Le jardin nature, un mélange savant d'herbes et de fleurs qui nous font croire qu'elles sont là par hasard.
Le soleil n'était pas de la partie, ce devait être le premier jour couvert après une longue série de ciel bleu. Monet n'en aurait pas été gêné, pour moi et mon appareil, quand les nuages épaississement, la tâche se complique.
Compliqué aussi, d'éviter les hordes de touristes autour du bassin des nymphéas.
La pluie nous ayant accompagnée un bout, les grenouilles se sont mises à coasser de bon cœur. Elles ne couvraient quand même pas les pépiements de ces dames en promenade.
Monet écrit dans une lettre en août 1908 à propos de ses nymphéas :
"Les effets varient constamment, non seulement d'une saison à l'autre, mais d'une minute à l'autre [...]. L'essentiel du motif est le miroir d'eau dont l'aspect s'altère à chaque moment, à cause des lambeaux de ciel qui s'y reflètent, et qui lui donnent sa lumière et son mouvement."
J'aurai tellement aimé que le soleil me permette de les voir avec d'autres reflets.
Le calme s'installe très vite dès que laissons le bassin pour des chemins plus discrets.
Nous étions assez nombreux pour remplir deux cars à la sortie de la gare de Vernon mais sans doute moins qu'un week end, heureusement.
Les photos sont interdites dans la maison, c'est dommage, une orchidée bleue dans la cuisine valait à elle seule le détour! Mais les surveillants me suivaient pas à pas, ou plutôt traquaient mon reflex. Les petits appareils eux, s'en donnaient à cœur joie pendant ce temps là!
Le jardin nature, un mélange savant d'herbes et de fleurs qui nous font croire qu'elles sont là par hasard.
Le soleil n'était pas de la partie, ce devait être le premier jour couvert après une longue série de ciel bleu. Monet n'en aurait pas été gêné, pour moi et mon appareil, quand les nuages épaississement, la tâche se complique.
Compliqué aussi, d'éviter les hordes de touristes autour du bassin des nymphéas.
La pluie nous ayant accompagnée un bout, les grenouilles se sont mises à coasser de bon cœur. Elles ne couvraient quand même pas les pépiements de ces dames en promenade.
Monet écrit dans une lettre en août 1908 à propos de ses nymphéas :"Les effets varient constamment, non seulement d'une saison à l'autre, mais d'une minute à l'autre [...]. L'essentiel du motif est le miroir d'eau dont l'aspect s'altère à chaque moment, à cause des lambeaux de ciel qui s'y reflètent, et qui lui donnent sa lumière et son mouvement."
J'aurai tellement aimé que le soleil me permette de les voir avec d'autres reflets.
Le calme s'installe très vite dès que laissons le bassin pour des chemins plus discrets.
mardi 24 mai 2011
Remue ménage à l'ASN
Nous attendions quelques remues ménage autour de l'entrée de l'Autorité de Sûreté Nucléaire pendant les jours qui ont suivi le tsunami. Mis à part quelques journalistes bien discrets il ne se passait rien, c'était le calme plat.
Nous finissions par douter de nos anti-nucléaires. Où étaient ils passés? C'est vrai que la Rambouille est moins photogénique que la gare de la Hague... s'en était presque vexant.
Enfin les voilà. Un petit rassemblement "bon enfant", même les CRS rigolent, le 22 avril, donc bien longtemps après le premier nuage de Fukushima.
Un deuxième un peu plus bruyant le 30 avril. Il y avait, ce jour là des allées et venues dans les locaux de l'ASN, et donc visiblement la garde était bien montée.
Ils ont promis de revenir souvent ....
Nous finissions par douter de nos anti-nucléaires. Où étaient ils passés? C'est vrai que la Rambouille est moins photogénique que la gare de la Hague... s'en était presque vexant.
Enfin les voilà. Un petit rassemblement "bon enfant", même les CRS rigolent, le 22 avril, donc bien longtemps après le premier nuage de Fukushima.
Un deuxième un peu plus bruyant le 30 avril. Il y avait, ce jour là des allées et venues dans les locaux de l'ASN, et donc visiblement la garde était bien montée.
Ils ont promis de revenir souvent ....
dimanche 26 décembre 2010
Tempête de neige
La tempête de neige du 8 décembre. La chance, j'étais à la maison ce jour là.
Beaucoup sont restés coincés sur les routes et les autoroutes d'Ile de France.
vendredi 11 septembre 2009
Point zéro
Le point de départ de toutes les balades à Volt. Le temps importe peu pour la balade, mais pour les photos le soleil est le bienvenu.L'emploi du temps ne permet pas toujours la balade. Un dimanche matin ensoleillé de printemps sur la promenade plantée, le temps d'un café, il est toujours possible d'aller à la rencontre des joggeurs, de la verdure et des oiseaux.
Le soleil et ses couleurs au couchant changent l'allure de notre petite place parisienne.
Mais ne vous méprenez pas, nous sommes tout de même à l'endroit où se trouvait le manoir de Reuilly que le roi Dagobert affectionnait tout particulièrement. C'est là qu'il avait passé une partie de son enfance et on dit parfois que c'est ici qu'il épousa en 625 sa première femme.
C'était alors la campagne. Ça ne l'est plus mais on y trouve encore les animaux de la ferme.
Sur les toits plats au calme, ou au milieu du passage des voitures et des piétons qui traversent la place, nos canards vivent leur vie de canards.
A la mi mars, le printemps sur la promenade plantée.
Surprise! le 1er mai les rues sont vides et calmes ... delà à rencontrer une mésange sur le tronc d'un marronnier, c'est la première fois. J'en ai déjà aperçu une sur la promenade plantée mais je ne pensais pas qu'elles pouvaient s'aventurer dans les rues à voitures.
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